Question:
Auteurs en herbe ! Pouvez-vous imaginer la scène et le dénouement ?
x
2007-07-02 18:09:47 UTC
Vous êtes coincés dans un ascenseur avec:
un intello
une artiste
un blaireau
une aguicheuse
un musicien célèbre

Que se passe-t-il?
Douze réponses:
Loïc M
2007-07-03 07:30:33 UTC
« -Bon, on dirait qu’on est bloqué, dis-je benoîtement ! »

« -J’espère que cela ne va pas être long, fait d’une voix très féminine l’aguicheuse »

Après avoir adressé un sourire à cette dernière, mon regard quitte ses atours pour se poser sur le panneau de l'ascenseur : de nombreux boutons noirs, avec des chiffres allant de -1 à 10, un bouton blanc, et un bouton rouge avec une petite "cloche. Je vais pour appuyer dessus pour appeler les secours, mais la grosse main du blaireau me précéde. Une sonnerie retentit, alors qu'un clignotement apparaît. on se regarde en grimaçant. Ce bruit n'est pas très agréable. Le musicien se plaint en nous disant qu'il s'agit d'une fausse cloche.

A ce moment là, le bruit s'arrête, le clignotement cesse, le bouton reste toute fois allumé.

Mais, l'ascenseur ne redémarre pas.

Les "Ah !" de soulagement laissent place à la perplexité.

L'intellectuel demande ce qu'il se passe, en s'adressant plus spécifiquement au musicien, mais avisant sa tenue : chapeau noir, smoking noir, noeud papillon noir au-dessus de chemise blanche, et sa boîte (qui a la forme d'un violon), il s'arrête. C'est l'aguicheuse qui va jusqu'au bout du raisonnement : "vous travaillez pour une compagnie d'acsenceurs pour savoir cela sur l'alarme, monsieur", dit-elle au musicien.

"Du tout, dit-t-il avec un sourire avenant ! Je suis musicien. Mon instrument de prédilection n'est pas la cloche d'alarme d'ascenseur, mais j'ai une certaine expérience des sons comme vous pouvez l'imaginer !"



S'ensuit une conversation où le musicien célébre, violoniste, parle de sa vie. Les autres lui posent des questions et l'écoutent. L'intellectuel le connaît : il était déjà allé à un concert à l'Opéra de Lyon auquel le violoniste avait pris part. L'artiste parle d'autres concerts qu'elle a vu. Les interventions de l'aguicheuse se limite à quelques pouffements de rire. Pour ma part, j'écoute.

L’intellectuel critique la façon dont la télévision manque d’exigence en matière d’art.



"- Si c'est pour se faire chier devant des spectacles de danse à la con avec des hommes en collant blancs comme sur Arte intervient le blaireau, qui rongeait son frein depuis un moment…"

L'artiste le fusille du regard : "-comment vous pouvez dire ça ? Il y a tout un travail sur l'expression de l'émotion, dit-t-elle, il faut savoir se faire emporter"

"-Emotion, mon cul ! , réplique le blaireau ! C'est comme les films psychologiques français. C'est gnangnan, débile...

"Et y a toujours du cul, continue-t-il en jetant un regard libidineux à l’’aguicheuse."



"-Et, quels sont les spectacles qui vous plaisent ?, demande sur un ton condescendant l'intello au blaireau"

"-Bah, des films qui bougent, comme Taxi, etc...Les courses de formule 1 aussi, et le sport à la télé. Quoi ! L'esprit de compétition, etc..."

Si l'aguicheuse croit bon de rajouter que l'autre coup en boîte, elle a rencontré Djibril Cissé qui mixait, les autres roulent de grands yeux. L'intellectuel dit simplement "c'est votre choix" et il reprend la conversation avec l'artiste et le musicien célébre en ignorant le blaireau. L'intellectuel se dit même sceptique sur l'exigence des spectateurs des semaines de la musique classique à Nantes, ce en quoi l'artiste n'est pas d'accord. Elle dit qu'il faut faire venir les gens vers l'art, et que ces festivals sont aussi une bonne opportunité de travail pour tous ceux qui sont intermittents du spectacle.

Le blaireau fait un petit commentaire déplaisant, mais ils n'en ont cure : ils parlent d’expositions qu’ils ont vu tous les trois. L'aguicheuse essaie de capter le regard du musicien célèbre.

Le blaireau commence à faire les cent pas.

Tandis que l'artiste et l'intellectuel parlent d'un ami commun, sculpteur de la provocation, l'aguicheuse s'approche du musicien , et demande à voir son violon ingénue. Le violoniste s'éxécute. J'en profite pour regarder aussi le bel instrument de musique.

"On pourrait peut-être s'en servir pour essayer de sortir de là, fait l'aguicheuse, tout en carressant l'instrument et en même temps, fausse innocente, la main du musicien renommé.

"Ah oui, on va forcer la porte avec la baguette là, fait le blaireau"

"L'archet, je corrige avec une voix faible"



Le musicien roule des yeux outrés.



L'aguicheuse décide alors de prendre son parti :



"-Non, je voulais dire qu'il pourrait jouer un air, ça attirerait peut-être les secours."

"-Et moi, cela me ferait beaucoup de plaisir de vous entendre, rajoute-t-elle en minaudant"



Nous sommes tous d'accord.



"-Bon, mes amis d'infortune, allons-y donc pour une sonate, accepte le musicien"



et, la jolie musique retentit. Pas une fausse note, mais une jolie mélodie. L'aguicheuse danse avec tous ses compagnons d'infortune, ce qui déride un peu le blaireau, ce qui décrispe un peu l'intellectuel, et me plaît bien. Elle est dynamique et habillée sexy. L'artiste se mêle au bal.

Le musicien sourit à ses danseurs.

L'arstite en prenant l'aguicheuse par la taille, change le sens de la danse. Le blaireau récupère ensuite l'aguicheuse et se colle à elle. Comme elle se laisse relativement faire, il lui adresse un sourire carnassier. dans notr etour, l'artiste et moi, on se demande si les secours sont déjà en train de réparer l'ordinateur. J'adresse un regard au panneau de l'ascenseur. Ca n'a pas changé. Le bouton d'alarme est toujours rouge lumineux.

L'aguicheuse veut changer de partenaire, mais el blaireau la tient assez fort. Elle réussit quand même à s'aggriper à l'intellectuel qui était planté au milieu de l'ascenseur, et qui le prend donc en charge à son tour. Elle lui demande ce qu'il fait dans la vie. Tandis que le blaireau d'adosseà la paroi de l'ascenseur et enlève un bouton de sa chemise.



L'artiste préfère rester avec moi qu'aller vers lui. On discute un peu de la décoration minimaliste de l'ascenseur. Deux lampes au plafonnier. Un des globes est éteint. Mais, en regardant d'un peu plus près et en évitant la lumière de l'autre, j'y vois quelque chose. L'artiste aussi.

Je suis grand, je m'approche pour voir que c'est, tandis que le blaireau essaie de reprendre en main l'aguicheuse en posant sa main sur son épaule...



Je n'avais pas rêvé : c'est bien une caméra qu'il y a dans ce globe électrique éteint.



Et, elle tourne...
anonymous
2007-07-03 01:58:36 UTC
Bloqués entre deux étages. L'intello sort précipitamment ses équerres et ses lunettes de presbytie afin d'établir un rapport entre la géométrie de la cage et le fait que nous soyons coincés ici.



Une artiste profite du moment pour capturer l'intello (en train d'évaluer ses lois de la physique dans son petit manuel spécial « Ascenseurs en panne ») à l'aide son appareil-photo, se disant qu'elle en ferait une peinture réaliste à son retour à la maison.



Le musicien célèbre comprend rapidement que le moyen de s'en sortir est d'éviter la panique, pour se faire il sort son violon et se met à jouer une mélodie détendant les nerfs afin que personne ne provoque la chute de l'ascenseur.



L'aguicheuse en profite pour tenter de séduire le musicien en lui racontant la fois où elle a tentée de jouer du piano pour la première fois, pensant pour elle-même que si elle y arrivait avec l'homme, elle n'aurait plus à s'inquiéter de son budget.



Je profite du moment pour demander un autographe au musicien, je demande des conseils à l'intello pour une recherche, je photographie l'artiste, je prend le numéro de téléphone de l'aguicheuse et j'appuie sur le bouton de cloche d'urgence de l'ascenseur.



Le blaireau ? Décédé. Il sert de perruque pour le musicien septuagénaire.
Chut!Je me concentre !
2007-07-03 07:52:24 UTC
L'artiste commmence à être pris de sueur froide, il pense à son violon et soudain saisit son blaireau d'une geste maladif et tremblotant : "ça vous ennuie pas si je joue l'adagio d'Albinoni, je suis claustro, je sens que je vais péter les plombs sinon !!"

les autres le regardent d'un air atterré (encore un dingue) et finissent par hocher la tête... moi esprit malin, je souffle une brise chaude sur sa nuque qui lui fait hérisser les poils de sa nuque.... L'artiste, Chosta pour les intimes, époussète son stradi avec son blaireau de mathusalem (très jolie ville en Israël) et entame cet air pour le moins euh... enfin bref passons...

l'intello en mal de référence et de grilles de lecture à ce phénomène malgré tout angoissant commence à nous servir une allégorie fort ennuyeuse sur le mythe de la caverne... je ne peux m'empêcher de ricaner ce qui provoque un grincement intéressant dans l'ascenseur et une certaine instabilité de l'assemblage... est-il besoin de préciser que de l'adagio s'échappe une plainte convulsive ?

et une douce mauvaise odeur fait grimacer les coincés.... pendant ce temps là, l'artiste un peu bohème et certainement lesbienne commence à séduire l'aguicheuse (les temps sont modernes et carpe diem) qui au départ offusquée commence à s'interesser au joli portrait de l'artiste, blonde à la coupe garçonne hé hé....

tout ça commence à devenir intenable pour moi esprit frappeur avide de silence et de grincement d'ascenceur.... soudain, tous les participants entendent un grand bong, l'adagio s'interrompt d'un coup, les cables tremblent, regards angoissés, feront ils les titres du journal demain ? "corps réduits en bouillie dans un ascenseur fou" ?

les pompier débloquent les parois de l'ascenseur grâce à un pied de biche.

Ils ressortent tous les cinqs de l'ascenseur, le musicien presque en pâmoison et l'aguicheuse aussi mais pour des raisons différentes.



Et moi je ricane silencieusement en pensant aux prochaines victimes que je vais bloquer.
samowa
2007-07-03 02:09:02 UTC
l'inl'aguicheuse se jette sur le musicien celebre ,l'intello se dit pourquoi dieu le punit de l'avoir coincé avec dees etres aussi minables que ces gens le blaireau emmerde l'artiste,et il sort un pistolet et il ouvre le feu sur le blairau puis sur l'agucheuse ,puis l'artiste et le musicien et puis je saute sur lui ,je le maitrise et et je l'enchaine avec sa cravate en attendant les secours
AZATHOTH
2007-07-03 01:36:03 UTC
l'intello explike la situation réelle à l'artiste perdu dans ses émotions, le musicien célébre est en mesure de donner le ton, et je me tape l'aguicheuse pendant ke le blaireau creuse.....



(au passage, je me dit ke je ne reviens plus ds un etablissement ki laisse entrer ce genre d'animal, bien que cela ferait un bon casse croute si la panne dure, ainsi qu'une belle fourrure pour l'aguicheuse)
Thalie
2007-07-03 01:17:55 UTC
Le blaireau matte l'aguicheuse pendant que l'artiste charme le musicien célèbre et j'aide l'intello à débloquer l'ascenseur...
Monica
2007-07-04 14:27:40 UTC
Le blaireau, qui était claustrophobe, commença à transpirer à grosses gouttes. D'une main tremblante, ils sortit son mouchoir et s'épongea le visage.

Il disait : "c'est la fin...pourquoi il s'est arrêté?...j'aurais du prendre l'escalier comme d'habitude...qui va s'occuper de mes minous chéris si je sors pas de là ?...on va mourir de faim !

L'intello interrompit ce flot de paroles pour l'informer que ce n'était pas de faim que nous allions mourir mais plutôt du manque d'air.

D'après ses calculs, on pouvait tenir 1 heure avec l'oxygène contenu dans l'ascensseur.

Prestement, l'artiste qui était poète sortit un carnet et commença à écrire avec frénésie. Il voulait immortaliser sur papier ce qui serait peut-être sa dernière heure.

Le célèbre musicien quant à lui, décréta que si il devait mourir ce serait en musique. Il sortit donc son violon de son étui et entama un air de Bach. Mais ce n'était pas du goût de l'aguicheuse qui préférait une musique plus actuelle. Le musicien qui n'était pas insensible au charme de ce joli brin de fille reprit donc pour elle un air de Britney Spears.

L'aguicheuse, satisfaite, retira son manteau de fourrures pour laisser paraître une petite robe rouge au décolleté pigeonnant. Elle se mit à onduler du popotin sous les yeux intéressés du musicien. Le visage jouflu de ce dernier devint aussi rouge que les ongles de notre danseuse improvisée.

L'intello, distrait, scrutait le plafond. Il ne s'imaginait quand même pas nous faire sortir par là, non ?

L'artiste jeta un regard meurtrier au musicien. Il lui ordonna d'arrêter cette musique de sauvages. Il n'arrivait plus à écrire avec ce boucan.

Le célèbre musicien regarda l'artiste d'un air dédaigneux.

Il n'arrêterait pas de jouer, il était sur le point de conclure avec l'aguicheuse.

Le blaireau au bord de la syncope, s'en mêla. cette musique allait le rendre hystérique. L'aguicheuse arrêta de remuer son arrière-train, elle en avait assez de ces rabats-joie, elle voulait sortir d'ici.

Elle promit au musicien de l'emmener boire un verre si ils sortaient vivants de ce satané ascensseur.

Elle posa un gros baiser qui laissa une belle trace rouge sur la bonne joue du violoniste.

Enfin, 10 minutes plus tard, nous fûmes libérés.

Le violon avait été entendu à travers la porte par les gardiens.
Mimi L
2007-07-03 17:26:41 UTC
J'allais faire une réponse, mais devant celle de c3ed, franchement je m'incline !!!

C'est stupéfiant et il est génial !

(et votre question avec !)
Gunther
2007-07-03 08:54:44 UTC
Je vais rater mon train si personne ne vient à notre secours. Alors, en désespoir de cause, je bavarde avec l'artiste qui m'explique son mal-être de personne incomprise. Il vit seul dans une chambre ridiculement petite et insalubre sous les toits de cette ville qui est pour lui une geôlière insupportable. Je le console en lui disant qu'il n'est pas le seul et que tout peut changer. Je peste intérieurement contre le fait d'avoir pris l'ascenseur, moi qui déteste ça.



Pendant ce temps, le blaireau fait une crise d'angoisse et se met à trembler en répétant convulsivement qu'il va étouffer. L'intello tente de lui parler calmement et s'improvise psychologue. Il décide de lui faire un massage du lobe des oreilles en expliquant l'effet bénéfique de ce geste anodin. Il s'exécute avec zèle, tout sourire. Le blaireau ouvre des yeux immenses, plisse la bouche de façon comique et l'assomme d'un coup de poing instinctif. L'intello tombe, inanimé.



L'aguicheuse, énervée, prend sa chaussure et frappe sur la tête du blaireau avec force. Celui-ci perd également connaissance. Je me dis que cette méthode est plus efficace que l'attouchement des oreilles pour faire taire les angoisses. Elle se rechausse comme si de rien n'était et attend tranquillement. Cette femme très séduisante se met à me regarder d'un air lascif. Je fais semblant de ne pas la voir. Malheureusement pour elle, je préfère les personnes du sexe opposé.



Le musicien célèbre que personne n'a reconnu, se met à râler en disant qu'il va être en retard pour un concert qui a lieu ce soir non loin d'ici. Alors l'artiste lui demande tristement si lui aussi est un artiste musicien désabusé. L'homme enlève ses lunettes et sourit triomphalement. Il s'agit d'un chef d'orchestre très connu. Il se met à nous raconter ses aventures palpitantes. Il voyage tout le temps, et il aime se promener seul dans les villes où il se trouve en pleine nuit. L'artiste soupire en battant des cils comme une coquette.



Enfin, une secousse se fait ressentir. L'ascenseur bouge péniblement. Une fois en bas, soulagés, nous sortons en tirant les deux corps momentanément sans vie. Les pompiers demandent si ces deux personnes ont perdu brusquement connaissance car cela arrive fréquemment lors de ce type d'incident. On se regarde tous et on dit :"Oui, oui!!". L'aguicheuse ne perd pas de temps, déjà elle a repéré une belle femme parmi les pompiers présents. Celle-ci ne semble pas insensible à ses charmes de femme voluptueuse.



Le musicien célèbre nous propose de venir assister au récital qu'il donnera dans une heure. L'artiste accepte et ils partent tous deux, déjà bons amis. Le chef d'orchestre manifeste l'envie d'écouter les oeuvres méconnues de l'artiste malchanceux. Moi, j'ai dû décliner l'invitation, mon train m'attend et je ne suis pas en retard, presque pas.



Alors, je quitte le parking souterrain et je me dirige vers la gare, en extase; depuis quelques jours le temps est serein, il semble s'être arrêté de changer pour mieux attendre. Ce soir, je pars vers une vie meilleure.
Personne
2007-07-03 08:44:39 UTC
Pour éviter la panique, comme dans le Titanic, le musicien sortit son instrument et attaqua "Ce n'est qu'un au-revoir". Sous les yeux allumés du blaireau, l'artiste enfila son tutu et, s'aidant de la barre d'appui, fit des étirements sur ces notes mélancoliques . L'aguicheuse, ne voulant pas être en reste, ondula de la croupe en me regardant langoureusement. Devant ce spectacle pour le moins insolite, l'intello se dit, après mûre réflexion : mais qu'est-ce que ch'fout là ?? Dans un sursaut de lucidité une main appuya sur le bouton dépannage de l'ascenseur qui... explosa. La question reste posée en entier : qui a éteint la lumière ?
lorraine ^-^
2007-07-03 10:28:19 UTC
eh be, ça doit se regarder en chien de faïence, tout ça...

Bon, sont là... à attendre que quelqu'un arrive....alors ils inventent des jeux de rôle... chacun leur tour... rien à faire. L'aguicheuse a beau s'effeuiller... elle n'a pas de place et elle crève de froid , alors elle se rhabille.

Le vioncelliste ne réussit pas à sortir le violoncelle de sa boite, alors il se met à fredonner la musique, mais il y a des couacs...



.l'artiste essaie les stances de camille... Mais comme tousles ascenseurs ne vont pas à Rome, les autres la font taire... et puis ça pourrait donner lieu à une autre guerre fratricide... ILs préféreraient être cuirassés contre le froid.

L'intello commence une explication sur la foi, l'espérance et la charité, mais les autres peu charitables se mettent à le huer.

Il ne reste que le blaireau qui a toujours un necessaire dans sa poche et se met à se raser... Quand il est fin propre et qu'il ne sent plus l'animal, il appuie sur le bouton qu'il avait bloqué et l'ascenceur se met en marche.

Moralité Ayez toujours un baise-en-ville sur vous...



@ zut et moi? je prends des notes pour mon futur roman.
?
2007-07-03 01:15:10 UTC
Je peux pas dire, je serai jamais monté avec tout ce petit monde dans un ascenseur, bon, je me serai retrouver coinçé tout seul, mais c'est pas plus mal.


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